Le Blue Monkeys Big Band, est un orchestre de jazz, composé de 18 musiciens (trompettes, trombones, saxophones, et section rythmique) et d’une chanteuse. 

Il est dirigé par un tromboniste international, dont les compétences professionnelles sont largement reconnues. 

La passion du jazz est au cœur de cet ensemble qui revisite les grands classiques du répertoire international, dans des versions instrumentales ou chantées. La magie du swing est interprétée avec un subtil mélange de vigueur et de délicatesse.   Le Blue Monkeys Big Band a participé, entre autres, au festival du Muy, et à plusieurs reprises au festival de jazz de St Raphaël.

Saxophoniste ténor et compositeur, Samy Thiébault  nous présente ce soir son album “Awé”,  dernier d’une trilogie, faisant suite à ses précédents albums “Caribbean Stories” et “Symphonic Tales”. Un homage à la créolisation du jazz. 

Disciple entre autres de Wayne Shorter et de John Coltrane, il puise aussi son inspiration dans les musiques africaines, cubaines ou brésiliennes.  

Il nous offre une musique festive, riche en groove et soul  qui reflète la pluralité de ses influences, alliant jazz moderne, classique et musiques caribéennes.

Il sera entouré pour l’occasion de : Léonardo Montana au piano, Frank Aghulon à la batterie, Damien Varaillon à la contrebasse et de Marine Thibault à la flute.

Ce soir, Eric Luter, fils du clarinettiste Claude Luter, accompagnera à la trompette et au chant, le groupe Indiana Jazz Band. 

Le groupe s’est produit un peu partout dans la région Provence Alpes Côte d’Azur-Corse et a également accompagné des grands noms du Jazz, tels que Marc Laferrière, Alain Meaume, Kristin Marion…..

Il a été distingué par Yuri Buenaventura, le «Prince de la Salsa».

Cette formation, pleine de vitalité, a acquis une notoriété puisqu’elle est présentée comme certainement un des orchestres qui a su prendre une place incontournable sur la scène régionale du Jazz traditionnel.

Aux côtés d’Eric Luter, on trouvera Jacques Lespès à la clarinette et saxophone, Michel Delakian à la trompette et au buggle, Raphaël Porcuna au trombone, Stéphane 

Adrien Brandeis, pianiste-compositeur français, rend hommage au Mexique à travers son troisième album « Siempre más allá » (Toujours au delà). 

Un jazz coloré  qui  lui permet de mettre en scène ses influences contrastées.

« Il s’impose aujourd’hui comme l’un des talents les plus prometteurs » assure Jazz Magazine et s’est déjà produit dans 16 pays dans des festivals de renom.

Tous les amateurs de latin-jazz seront comblés par la prestation de cet artiste et de ses musiciens : Damian Nueva à la contrebasse, Andy Berald-Catelo à la batterie et Abraham Mansfarroll aux percussions.